Dans ce roman écrit en 2014, Daniel POLIQUIN raconte "le rituel de la mise aux enchères des enfants et des âgés qui se
pratiquait au Nouveau-Brunswick de 1875 à 1925, dans ces eaux-là.
Cette
tradition, inhumaine à première vue, avait du bon, paraît-il: les
démunis, orphelins ou vieillards, évitaient ainsi l’orphelinat ou
l’hospice, lieux peu recommandables à l’époque, et trouvaient un toit et
du travail; pour leur part, les fermiers y gagnaient une main-d’œuvre
bon marché".